





Alice-Anne Augustin est une plasticienne française au regard singulier, dont le travail explore les frontières entre art, matière et poésie. Pour le shooting de JOHO Magazine, elle signe une création saisissante : une robe de mariée en papier, véritable sculpture textile composée de plus de 3500 fleurs minutieusement cousues les unes aux autres. Cette œuvre audacieuse, fruit de 120 heures de travail artisanal, incarne la délicatesse du geste et la force de l’imaginaire.
À travers cette robe, Alice-Anne sublime le papier — matière éphémère et fragile — en le transformant en symbole de beauté fugace, d’instant suspendu. Son approche mêle la rigueur du savoir-faire manuel à une sensibilité poétique assumée, offrant une vision unique du vêtement comme œuvre d’art.
Pour celles et ceux qui rêvent d’une création hors du temps, entre couture et contemplation, il est possible de faire appel à Alice-Anne Augustin pour imaginer une pièce unique, à la croisée du rêve et de l’audace.
Alice-Anne Augustin est une plasticienne française au regard singulier, dont le travail explore les frontières entre art, matière et poésie. Pour le shooting de Joho Magazine, elle signe une création saisissante : une robe de mariée en papier, véritable sculpture textile composée de plus de 3500 fleurs minutieusement cousues les unes aux autres. Cette œuvre audacieuse, fruit de 120 heures de travail artisanal, incarne la délicatesse du geste et la force de l’imaginaire.
À travers cette robe, Alice-Anne sublime le papier — matière éphémère et fragile — en le transformant en symbole de beauté fugace, d’instant suspendu. Son approche mêle la rigueur du savoir-faire manuel à une sensibilité poétique assumée, offrant une vision unique du vêtement comme œuvre d’art.
Pour celles et ceux qui rêvent d’une création hors du temps, entre couture et contemplation, il est possible de faire appel à Alice-Anne Augustin pour imaginer une pièce unique, à la croisée du rêve et de l’audace.




Johanne De Azevedo est une sculptrice installée en Guadeloupe, dont le travail se nourrit d’une connexion instinctive avec la matière. Dans l’intimité de son atelier, elle laisse la forme émerger librement, guidée par les textures, les lignes, les accidents. “Je me laisse guider par la matière et, la plupart du temps, j’y vois des visages, des corps ou des fragments de corps”, confie-t-elle à JOHO Magazine. Entre abstraction et figuration, ses œuvres capturent l’essence du vivant et révèlent la mémoire enfouie des matériaux.
Johanne De Azevedo est une sculptrice installée en Guadeloupe, dont le travail se nourrit d’une connexion instinctive avec la matière. Dans l’intimité de son atelier, elle laisse la forme émerger librement, guidée par les textures, les lignes, les accidents. “Je me laisse guider par la matière et, la plupart du temps, j’y vois des visages, des corps ou des fragments de corps”, confie-t-elle à JOHO Magazine. Entre abstraction et figuration, ses œuvres capturent l’essence du vivant et révèlent la mémoire enfouie des matériaux.




Soul Berenson est un photographe au regard sensible et instinctif, qui explore les langages du corps et du mouvement à travers son objectif. Sur Instagram, il dévoile des œuvres puissantes où chaque geste capturé devient une expression à part entière, presque chorégraphique. Il avait déjà signé les sublimes clichés du JOHO #14 autour de la danse avec Yannick Lebrun, ainsi que ceux des Dieux du Stade dans le JOHO #12 aux côtés de Christine Arron. Pour cette nouvelle édition, il pose son regard singulier sur la rubrique Tendances.
Influencé par les univers graphiques et engagés d’Enki Bilal et de Basquiat, Soul Berenson mêle esthétique brute et poésie visuelle, pour créer des images qui racontent plus qu’un instant : un état d’âme, une tension, un souffle.
Soul Berenson est un photographe au regard sensible et instinctif, qui explore les langages du corps et du mouvement à travers son objectif. Sur Instagram, il dévoile des œuvres puissantes où chaque geste capturé devient une expression à part entière, presque chorégraphique. Il avait déjà signé les sublimes clichés du JOHO #14 autour de la danse avec Yannick Lebrun, ainsi que ceux des Dieux du Stade dans le JOHO #12 aux côtés de Christine Arron. Pour cette nouvelle édition, il pose son regard singulier sur la rubrique Tendances.
Influencé par les univers graphiques et engagés d’Enki Bilal et de Basquiat, Soul Berenson mêle esthétique brute et poésie visuelle, pour créer des images qui racontent plus qu’un instant : un état d’âme, une tension, un souffle.




Jean-Luc Dejean est un sculpteur qui redonne vie au métal recyclé, transformant des pièces mécaniques oubliées — roulements, boulons, rondelles — en œuvres d’art pleines de caractère. À travers la soudure, il façonne des silhouettes puissantes et expressives : corps de femme, chiens, chats en mouvement ou encore scènes de combat de coqs. Son travail mêle force brute et délicatesse du geste, capturant l’énergie du vivant dans l’inerte. Chaque sculpture devient ainsi une renaissance, un hommage vibrant à la matière et à la forme.
Jean-Luc Dejean est un sculpteur qui redonne vie au métal recyclé, transformant des pièces mécaniques oubliées — roulements, boulons, rondelles — en œuvres d’art pleines de caractère. À travers la soudure, il façonne des silhouettes puissantes et expressives : corps de femme, chiens, chats en mouvement ou encore scènes de combat de coqs. Son travail mêle force brute et délicatesse du geste, capturant l’énergie du vivant dans l’inerte. Chaque sculpture devient ainsi une renaissance, un hommage vibrant à la matière et à la forme.




Photographe de l’instant et amoureuse de la lumière naturelle, Méryl Volat capture le réel avec une liberté assumée. Son approche instinctive, fluide et poétique sublime les détails du quotidien autant que les éclats de l’extraordinaire.
Pour JOHO Magazine, elle a relevé un nouveau défi : délaisser la lumière du jour pour explorer l’univers plus cadré du studio, en signant les photos de la rubrique Shopping. Le résultat ? Un véritable festival de couleurs, plein de vie, d’audace et de fraîcheur.
Méryl ne fige pas l’image : elle la laisse respirer. Qu’elle shoote en extérieur ou en studio, son regard reste le même — sincère, curieux, et profondément humain.
Photographe de l’instant et amoureuse de la lumière naturelle, Méryl Volat capture le réel avec une liberté assumée. Son approche instinctive, fluide et poétique sublime les détails du quotidien autant que les éclats de l’extraordinaire.
Pour JOHO Magazine, elle a relevé un nouveau défi : délaisser la lumière du jour pour explorer l’univers plus cadré du studio, en signant les photos de la rubrique Shopping. Le résultat ? Un véritable festival de couleurs, plein de vie, d’audace et de fraîcheur.
Méryl ne fige pas l’image : elle la laisse respirer. Qu’elle shoote en extérieur ou en studio, son regard reste le même — sincère, curieux, et profondément humain.




Vidéaste de la rubrique Mariage dans JOHO Magazine, Soham, d’origine indienne, capture bien plus que des images : il saisit des vérités. À travers son regard lucide et poétique, il explore les zones silencieuses de nos vies – ces moments suspendus, ces gestes qui en disent long, ces émotions que l’on tait.
« I make films to see the world as it is, not as we’re told it should be » – voilà sa boussole. Dans un monde où tout va vite, Soham ralentit pour questionner, contempler, comprendre. Il filme non pour éblouir, mais pour révéler : ce que l’on fuit, ce que l’on cherche, et surtout, ce qui nous libère.
Pour lui, l’art n’est pas un luxe, mais une lucidité. Pas un décor, mais un miroir. Ses films ne prêchent pas, ils invitent à la pause, à la réflexion. À sortir du récit imposé pour retrouver un regard vrai.
Vidéaste de la rubrique Mariage dans JOHO Magazine, Soham, d’origine indienne, capture bien plus que des images : il saisit des vérités. À travers son regard lucide et poétique, il explore les zones silencieuses de nos vies – ces moments suspendus, ces gestes qui en disent long, ces émotions que l’on tait.
« I make films to see the world as it is, not as we’re told it should be » – voilà sa boussole. Dans un monde où tout va vite, Soham ralentit pour questionner, contempler, comprendre. Il filme non pour éblouir, mais pour révéler : ce que l’on fuit, ce que l’on cherche, et surtout, ce qui nous libère.
Pour lui, l’art n’est pas un luxe, mais une lucidité. Pas un décor, mais un miroir. Ses films ne prêchent pas, ils invitent à la pause, à la réflexion. À sortir du récit imposé pour retrouver un regard vrai.




Photographe attitré du JOHO Magazine, Fred Mogin pose son regard sensible et créatif sur le monde qui l’entoure. Son cœur bat toujours pour Haïti, source d’inspiration constante dans son travail. Humaniste et créateur multimédia engagé, il met son talent au service de projets porteurs de sens, cherchant à créer un impact positif sur la société. Dans JOHO Magazine, il signe avec finesse et éclat les clichés des rubriques Shopping, Watch Addict et Must Have, sublimant les objets comme de véritables bijoux visuels.
Photographe attitré du JOHO Magazine, Fred Mogin pose son regard sensible et créatif sur le monde qui l’entoure. Son cœur bat toujours pour Haïti, source d’inspiration constante dans son travail. Humaniste et créateur multimédia engagé, il met son talent au service de projets porteurs de sens, cherchant à créer un impact positif sur la société. Dans JOHO Magazine, il signe avec finesse et éclat les clichés des rubriques Shopping, Watch Addict et Must Have, sublimant les objets comme de véritables bijoux visuels.




Artiste peintre, pochoiriste et plasticien, Sébastien Tatanovich insuffle une énergie vibrante à tout ce qu’il touche. C’est lui qui signe l’univers visuel de l’atelier de la rubrique Shopping dans JOHO Magazine — une explosion créative où les objets prennent vie sous son regard affûté.
Toujours en mouvement, toujours en création, Tatanovich navigue entre les disciplines avec une audace assumée. Talent brut et esprit libre, il peint, découpe, compose, détourne… et surtout, il surprend. Sur tous les fronts, il impose son style : vif, engagé, électrique.
Artiste peintre, pochoiriste et plasticien, Sébastien Tatanovich insuffle une énergie vibrante à tout ce qu’il touche. C’est lui qui signe l’univers visuel de l’atelier de la rubrique Shopping dans JOHO Magazine — une explosion créative où les objets prennent vie sous son regard affûté.
Toujours en mouvement, toujours en création, Tatanovich navigue entre les disciplines avec une audace assumée. Talent brut et esprit libre, il peint, découpe, compose, détourne… et surtout, il surprend. Sur tous les fronts, il impose son style : vif, engagé, électrique.