La danse du diamant, selon Chopard

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© D.R.

Depuis ce jour de 1976 où les Happy Diamonds ont esquissé leurs premiers pas de danse chez Chopard, ils sont devenus de véritables icônes, une signature reconnaissable entre mille.

Les Happy Diamonds sont nés de la rencontre de l’eau et de la lumière. En 1976, Ronald Kurowski, alors designer chez Chopard, est fasciné par le jeu des rayons du soleil sur une cascade lors d’une promenade en Forêt-Noire. Au travers de ses dessins, il cherche à reproduire la magie de ces milliers de gouttelettes d’eau réfléchissant la lumière du jour et scintillant de toutes les nuances de l’arc-en-ciel.
Son idée de génie : laisser les diamants évoluer en liberté entre deux glaces saphir et leur rendre ainsi toute leur éclatante beauté. Chaque pierre est donc logée dans une capsule d’or dont le fond est taillé en biseau, afin que les diamants soient parfaitement libres de leur trajectoire tout en tournoyant sur eux-mêmes.
« Ces diamants sont plus heureux en liberté », s’exclame Karin Scheufele lorsqu’elle voit le premier modèle de montre Happy Diamonds terminé, nommant ainsi la collection. Pour couronner le succès de cette innovation, la montre remporte, en 1976, le prestigieux prix de la Rose d’Or de Baden Baden.

UNE PRÉSENCE MAGNÉTIQUE
Les Happy Diamonds fascinent et rencontrent très vite un grand succès, qui tient sans doute au plaisir ludique et presque enfantin de voir ces diamants virevolter dans un mouvement perpétuel. Evoluant dans la transparence absolue de deux verres saphir, les Happy Diamonds donnent l’impression que les diamants sont en contact direct avec la peau. Faire danser des diamants sur son bras, une espièglerie si élégante…
Si les Happy Diamonds font d’abord les beaux jours de l’horlogerie – la toute première pièce réalisée est une montre pour homme – ils offrent très vite un formidable essor à la joaillerie. Tout est né d’un trait d’audace, magnifique, de Caroline Scheufele. Passionnée de cirque, elle laisse vagabonder son imagination et dessine un clown précieux au ventre garni de diamants et de pierres de couleurs mobiles. Le succès de ce bijou, d’abord réalisé en pièce unique pour son utilisation personnelle, lance la ligne de bijoux Happy Diamonds et initie également la joaillerie chez Chopard en 1985. Après le clown suivent d’autres pièces comme l’éléphant, la coccinelle, le teddy bear et bien sûr le coeur, si cher à la Maison.

LES MILLE VIES DES HAPPY DIAMONDS
Les Happy Diamonds, c’est d’abord un esprit d’indépendance, ludique et aérien, qui se prête à d’infinies métamorphoses. Au fil des années, les Happy Diamonds ont été déclinés autour de collections emblématiques : Happy Sport, la première montre mêlant l’acier aux diamants (1993), Happy Fish (2002), Happy Spirit (2003) ou encore Very Chopard (2010) sont quelques-unes des collections les plus emblématiques de la maison.
Si chacune d’entre elles est construite autour d’un état d’esprit singulier et d’une identité visuelle forte, elles gardent toutes cette culture et cette signature esthétique immédiatement reconnaissable des Happy Diamonds. Un style, une allure, qui accompagnent la femme Chopard au fil de ses de choix.

HAPPY HEARTS, UN NOUVEAU VISAGE
Présentée en 2015, la collection Happy Hearts poursuivait alors la danse sans cesse renouvelée des Happy Diamonds. Elle est l’héritière de deux figures emblématiques de la maison genevoise : les diamants mobiles et les coeurs. Happy Hearts est très vite devenu une collection à part entière, déclinée en sautoirs, bracelets et boucles d’oreilles. Associée à de précieuses matières, la couleur y a aussi trouvé une place de choix : des coeurs en turquoise, onyx ou nacre côtoient d’autres coeurs renfermant des diamants mobiles ou des coeurs ajourés.

Happy Diamonds Watches Isov2.psd
© D.R.

Au sein des collections joaillières et horlogères qui les mettent en scène, les Happy Diamonds distillent leur légèreté joyeuse : uniques et connectés, mobiles et éternels, précieux et audacieux, ils incarnent un art de vivre singulièrement Chopard.

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